(Traduit)

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : Gaza a soif et n'a personne pour lui fournir de l'eau.

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : En ce mois où le Coran a été révélé, en ce mois du critère, en ce mois de bénédiction, Gaza a soif et n'a personne pour lui fournir de l'eau.

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : Les habitants de Gaza sont passés de la demande de nourriture à la queue sous le soleil brûlant, en jeûnant, juste pour obtenir un verre d'eau. Ils ont soif et n'ont personne pour leur fournir de l'eau.

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : À Gaza, les nourrissons et les personnes âgées ont soif, les veuves et les orphelins ont soif, et il n'y a personne pour leur fournir de l'eau.

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : À Gaza, même la possibilité de boire de l'eau est entre les mains de l'ennemi. Le carburant est coupé, ce qui empêche la population de l'extraire, tout comme les conduites d'eau sont coupées. Gaza a soif, sans personne pour lui fournir de l'eau.

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : L'ennemi a scellé les frontières de Gaza, de sorte que personne ne peut y entrer sans sa permission. Les Égyptiens criminels les ont assiégées, de sorte que ni l'eau ni la nourriture ne peuvent passer, laissant Gaza assoiffée, sans personne pour lui fournir de l'eau.

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : Si une femme musulmane vous demandait, par Allah puis par parenté, de lui fournir de l'eau parce qu'elle a soif, vous n'hésiteriez pas à le faire, même si vous traversiez la terre et pataugiez dans la mer. Qu'en sera-t-il lorsque Gaza sera complètement assoiffée et qu'elle n'aura personne pour lui fournir de l'eau ?

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : L'alliance d'Allah est libérée de la responsabilité d'une personne rassasiée alors que son voisin a faim. Alors, où êtes-vous par rapport au pacte d'Allah quand Gaza a soif et n'a personne pour subvenir à ses besoins ?

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : La larme d'un enfant à Gaza, la peur d'une femme à Gaza ou le cri d'une femme libre à Gaza vous obligent à ne pas déposer les armes jusqu'à ce que vous y répondiez. Qu'en sera-t-il lorsque Gaza aura soif et n'aura personne pour subvenir à ses besoins ?

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : L'agression des Juifs contre Gaza, après leur usurpation de la terre bénie et leur mainmise sur le cou de vos frères, vous a obligés à vous mobiliser dans le sentier d'Allah pour libérer le pays, soutenir les serviteurs et venger le sang versé. Comment pourrait-il en être ainsi quand, en plus de tout cela, Gaza a soif et n'a personne pour subvenir à ses besoins ?

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : Obéir aux dirigeants en s'abstenant de libérer la Palestine et d'aider son peuple est un péché contre Allah, et le repentir s'impose. Comment pouvez-vous le faire alors que Gaza a soif et qu'il n'y a pas de porteur d'eau ?

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : Si un musulman venait à périr et que vous parveniez à le sauver, vous seriez interrogés à son sujet devant Allah. Comment pouvez-vous le faire alors que Gaza est assoiffée et ne dispose pas d'un réservoir d'eau ?

Ô Oumma de l'Islam et ses soldats : Si vous n'agissez pas aujourd'hui, si vous ne désobéissez pas aux ordres des perdants, si vous ne répondez pas à Allah et à Son Messager, si vous ne renversez pas les dirigeants et si vous ne vous vengez pas d'eux comme vous l'avez fait des Juifs, comment rencontrerez-vous Alalh quand vous aurez laissé Gaza assoiffée et sans porteur d'eau ?

Aujourd'hui, l'eau et les secours de Gaza ne sont pas fournis par des convois stationnés à la frontière, où la nourriture est gâchée en attendant l'autorisation des Juifs. L'aide à Gaza est plutôt fournie par une armée massive dirigée par al-Mu'tasim, Qutuz ou Saladin, qui disent : « Nous sommes à votre service, par Allah, nous ne déposerons pas nos armes tant que vous ne serez pas satisfaits et tant que la caravane n'arrivera pas à la mosquée Al-Aqsa. » Si ce n'est pas le cas, Gaza restera assoiffée et sans porteur d'eau.

Le Messager d'Allah (saw) a dit: «الْمُسْلِمُ أَخُو الْمُسْلِمِ لَا يَظْلِمُهُ وَلَا يُسْلِمُهُ»، وفي رواية «وَلَا يَخْذُلُهُ».“Un musulman est le frère d'un autre musulman. Il ne doit donc ni l'opprimer ni le livrer à un oppresseur et dans une autre narration : "Il ne l'abandonne pas non plus." ”